Nos compatriotes victimes entre autres de zèle et d’abus sans aucun égard aux conventions et conditions de travail, furent en désespoir de cause forcés durant tout l’été 2013 à une longue grève, manifestant matin-midi-soir sous des températures frôlant les 45 degrés Celsius afin d’arrêter la machine infernale des réductions drastiques de postes et des maigres salaires.
La lutte fut longue et rude, une fois n’est pas coutume, reçurent comme même en soutien la visite d’IOG sur le piquet de grève alors que la dite opposition folklorique du Club des minimalistes USN fût aux abonnés absents. Fallait surtout pas, ambitions obliges, que les américains voient ces politicards aux côtés du droit bafoué de ses employés.
Non sans peine, ces Braves obtinrent gain de cause, un retour au travail initié avec des promesses de revoir et négocier toutes leurs revendications.
Qu’en est-il advenu à ce jour ?
À l’horizon d’une rencontre entre les parties, la semaine prochaine selon nos sources, nous essayerons d’ici le weekend de documenter ce brulant dossier, ou depuis un moment déjà - esclavage civilisateur oblige - nos compatriotes et leurs familles n’ont, pour défaut de payement des cotisations OPS par l’agence EAD, aucun accès aux soins médicaux de base dans les SMI.
Par conséquent, comme en 2013, le PRIDE ne ménagera aucun effort pour porter assistance à cette précarité à laquelle sont soumis nos frères et sœurs, dénoncer les complicités de la prostitution politique et l’absence totale de civisme dans ce « No man's land » du droit.
Une autre cause qui certes me vaudra quelques animosités d’amis locaux, mais j’ai espoir qu’ils finiront par comprendre et faire ce qui est juste dans l’intérêt de tous et chacune des parties.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin )
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