Djibouti : Ces conteneurs de la mort du nouveau Mexique (USA) ou l’Amérique occupe ses accrocs aux jeux vidéo de guerres, certains, relocalisés sur la base du Camp Lemonnier de Djibouti broient la chair fraiche en direct de la Somalie au Yémen et sans doute ailleurs pour un petit 38 à 63 Millions US par année.
Activision Blizzard fit avec la vente de son jeu « Black Ops II » plus de 500 millions de dollars en 24heures et franchit le milliard de dollars en quinze jours.
Si au lieu de détruire l’éducation aux mains d’incompétents, nous promouvions sur nos bancs la programmation et le développement de logiciels adaptés aux marchés africains en attendant de conquérir le monde, ces revenus rapporteraient bien plus que ce pourboire faisant de nous tous, les complices d’assassinats politiques ciblés chez nos voisins, des crimes portant préjudices à court-moyen terme, à la sécurité de Djibouti et ses populations.
Ceux qui me trouveraient un peu trop alarmiste pour leur petit calcul de politicards, rassurés que ces livraisons de la mort ne sont destinées qu’aux autres, déchanteront face aux confessions sur le Web de ces pousseurs de boutons. Les assassinats politiques est la mission principale de ces drones, la lutte au terrorisme tantôt ami, tantôt ennemi, en est la couverture. Les précédents sont légions en la matière, les suivre est une vertu et un directeur de la CIA avait prévenu : « Nous gagnerons la guerre contre le « terrorisme », grâce à des forces dont vous ne savez rien, des opérations dont vous ne verrez rien et des méthodes que vous préféreriez sans doute ne pas connaître », promesses tenues.
Un accident arrive tellement vite que le dernier, un obus d’une intelligence remarquable, dont l’enquête comme toutes les autres à Djibouti ne nous révèlera jamais les exploits, se charge tout seul dans le canon de la frégate espagnole, active sa mise à feu « à distance SVP » et choisit d'atterrir en mer !!!
Nul n'est donc à l’abri, tout bigot qui tenterait de s’affranchir des harnais comme toute opposition politique à Djibouti sur le point de balayer un gentil régime « démocrate » sans au préalable prêter allégeance aux maitres de la console, gouttera à la médecine de cette naïveté politique récurrente, à moins bien sûr que nous décidions enfin tous ensemble, de sortir de ce carcan colonial ; régime/opposant, en joignant nos matières grises à la recherche d’un nouveau paradigme établissant un rapport de force humainement digne.
Les Messies de la science politique du culte de l'individu qui s'appliquent depuis des années de l'UAD à l'USN, à nous contester ce devoir citoyen, d'union de nos forces, sont nos 1ers ennemis.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin )
Activision Blizzard fit avec la vente de son jeu « Black Ops II » plus de 500 millions de dollars en 24heures et franchit le milliard de dollars en quinze jours.
Si au lieu de détruire l’éducation aux mains d’incompétents, nous promouvions sur nos bancs la programmation et le développement de logiciels adaptés aux marchés africains en attendant de conquérir le monde, ces revenus rapporteraient bien plus que ce pourboire faisant de nous tous, les complices d’assassinats politiques ciblés chez nos voisins, des crimes portant préjudices à court-moyen terme, à la sécurité de Djibouti et ses populations.
Ceux qui me trouveraient un peu trop alarmiste pour leur petit calcul de politicards, rassurés que ces livraisons de la mort ne sont destinées qu’aux autres, déchanteront face aux confessions sur le Web de ces pousseurs de boutons. Les assassinats politiques est la mission principale de ces drones, la lutte au terrorisme tantôt ami, tantôt ennemi, en est la couverture. Les précédents sont légions en la matière, les suivre est une vertu et un directeur de la CIA avait prévenu : « Nous gagnerons la guerre contre le « terrorisme », grâce à des forces dont vous ne savez rien, des opérations dont vous ne verrez rien et des méthodes que vous préféreriez sans doute ne pas connaître », promesses tenues.
Un accident arrive tellement vite que le dernier, un obus d’une intelligence remarquable, dont l’enquête comme toutes les autres à Djibouti ne nous révèlera jamais les exploits, se charge tout seul dans le canon de la frégate espagnole, active sa mise à feu « à distance SVP » et choisit d'atterrir en mer !!!
Nul n'est donc à l’abri, tout bigot qui tenterait de s’affranchir des harnais comme toute opposition politique à Djibouti sur le point de balayer un gentil régime « démocrate » sans au préalable prêter allégeance aux maitres de la console, gouttera à la médecine de cette naïveté politique récurrente, à moins bien sûr que nous décidions enfin tous ensemble, de sortir de ce carcan colonial ; régime/opposant, en joignant nos matières grises à la recherche d’un nouveau paradigme établissant un rapport de force humainement digne.
Les Messies de la science politique du culte de l'individu qui s'appliquent depuis des années de l'UAD à l'USN, à nous contester ce devoir citoyen, d'union de nos forces, sont nos 1ers ennemis.
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– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin )
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