Chers compatriotes,
C'est avec un cœur lourd que je m'adresse à vous.
Les masses populaires de tout pays aiment profondément leur patrie, d'un amour réel, naturel, pas une idée : un fait.
Et soutenir l'anarchie d'un despote qui ne représente que ses propres intérêts à travers l'état, une entité qui selon Bakounine ne représente que l'abstraction métaphysique, mystique, juridique, politique de la patrie, n'a jamais été considérée comme un signe de patriotisme.
Si on prend pour acquis que l’existence conditionne la conscience, on est en droit alors, de nous poser la question suivante :
A quel titre, au nom de quel Droit, de quelle Justice, des êtres humains ayant demandé l'asile au Canada en fuyant la tyrannie d'un despote africain, l'actuel dictateur djiboutien Ismael Omar Guelleh, peuvent-ils supporter ce même tyran d'un passé à faire frémir et rougir de honte le Bokassa de la Centre Afrique, pour un 3ème mandat anticonstitutionnel, ce même tyran qui aujourd'hui fait main basse sur les maigres richesses de ce pays tout en usant de la même politique du tribalisme qui ruina la Somalie de Siad Barré, en torturant, affamant, emprisonnant et tuant les proches et les compatriotes sans voix, de ces mêmes fêtards résidents sur le sol Canadien ?
Et si la conscience de ces êtres leur fait défaut, on est aussi en droit de poser la question suivante aux autorités Canadiennes concernées:
Les citoyens du Canada ont-ils le droit, à partir du sol Canadien, de supporter l'injustice, les crimes et les génocides commis ailleurs par ceux-là ou celui-là même que ces Néo-Canadiens ont prétendu fuir ?
Écoutant ensemble ce reportage magistral sur toutes ces questions, en langue Somalie et espérant que cet appel éveillera les consciences amorphes avant que la justice s'en mêle.
Abou Amin
Sec Gen du PRIDE
http://www.facebook.com/PRIDE.DJIBOUTI
C'est avec un cœur lourd que je m'adresse à vous.
Les masses populaires de tout pays aiment profondément leur patrie, d'un amour réel, naturel, pas une idée : un fait.
Et soutenir l'anarchie d'un despote qui ne représente que ses propres intérêts à travers l'état, une entité qui selon Bakounine ne représente que l'abstraction métaphysique, mystique, juridique, politique de la patrie, n'a jamais été considérée comme un signe de patriotisme.
Si on prend pour acquis que l’existence conditionne la conscience, on est en droit alors, de nous poser la question suivante :
A quel titre, au nom de quel Droit, de quelle Justice, des êtres humains ayant demandé l'asile au Canada en fuyant la tyrannie d'un despote africain, l'actuel dictateur djiboutien Ismael Omar Guelleh, peuvent-ils supporter ce même tyran d'un passé à faire frémir et rougir de honte le Bokassa de la Centre Afrique, pour un 3ème mandat anticonstitutionnel, ce même tyran qui aujourd'hui fait main basse sur les maigres richesses de ce pays tout en usant de la même politique du tribalisme qui ruina la Somalie de Siad Barré, en torturant, affamant, emprisonnant et tuant les proches et les compatriotes sans voix, de ces mêmes fêtards résidents sur le sol Canadien ?
Et si la conscience de ces êtres leur fait défaut, on est aussi en droit de poser la question suivante aux autorités Canadiennes concernées:
Les citoyens du Canada ont-ils le droit, à partir du sol Canadien, de supporter l'injustice, les crimes et les génocides commis ailleurs par ceux-là ou celui-là même que ces Néo-Canadiens ont prétendu fuir ?
Écoutant ensemble ce reportage magistral sur toutes ces questions, en langue Somalie et espérant que cet appel éveillera les consciences amorphes avant que la justice s'en mêle.
Abou Amin
Sec Gen du PRIDE
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Chers compatriotes,
C'est avec un cœur lourd que je m'adresse à vous.
Les masses populaires de tout pays aiment profondément leur patrie, d'un amour réel, naturel, pas une idée : un fait.
...Et soutenir l'anarchie d'un despote qui ne représente que ses propres intérêts à travers l'état, une entité qui selon Bakounine ne représente que l'abstraction métaphysique, mystique, juridique, politique de la patrie n'a jamais été considérée comme un signe de patriotisme.
Si on prend pour acquis que l’existence conditionne la conscience, on est en droit alors, de nous poser la question suivante :
A quel titre, au nom de quel Droit, de quelle Justice, des êtres humains ayant demandé l'asile au Canada en fuyant la tyrannie d'un despote africain, l'actuel dictateur djiboutien Ismael Omar Guelleh, peuvent-ils supporter ce même tyran d'un passé à faire frémir et rougir de honte le Bokassa de la Centre Afrique, pour un 3ème mandat anticonstitutionnel, ce même tyran qui aujourd'hui fait main basse sur les maigres richesses de ce pays tout en usant de la même politique du tribalisme qui ruina la Somalie de Siad Barré, en torturant, affamant, emprisonnant et tuant les proches et les compatriotes de ces mêmes fêtards sur le sol Canadien ?
Et si la conscience de ces êtres leur fait défaut, on est aussi en droit de poser la question suivante aux autorités Canadiennes concernés :
Les citoyens Canada ont-ils le droit, à partir du sol Canadien, de supporter l'injustice, les crimes et les génocides commis ailleurs par ceux-là ou celui-là même que ces Néo-Canadiens ont prétendu fuir ?
Écoutant ensemble ce reportage magistral sur toutes ces questions, en langue Somalie et espérant que cet appel éveillera les consciences amorphes avant que la justice s'en mêle.
IOG s'en fou éperdument que des ignares qu'il n'aura jamais à consulter par un vote, le soutiennent ou pas à partir du Canada, mais il sait que certains d'entre eux sont tellement pourris au point de vendre leur mère aux enchères, qu'il lui a suffi d'envoyer son BOF Djama Haid avec un peu de monnaie et la bonne parole tribale et les voila tous entrain de faire la danse du ventre.
Tout ce que l'ANIMAL IOGl veut tirer de cette soirée à l'Hôtel Chimo d'Ottawa, c'est une autre VIDÉO comme celle de la Rue Gilmore pour casser le courant actuel des revendications et le moral des protestataires du régime qui a fait tant de mal à Djibouti depuis 33 ans.
À ceux qui y seront, j'aimerai bien qu'ils prennent un instant de réflexion, ne serait ce qu'une minute de leur vie, en s'imaginant la réaction, la douleur, la colère et l'indignation que ressentiront les sœurs, les frères, les cousins, les oncles, les amis ou les voisins du quartier qui souffrent encore sous la même répression que vous avez eu la chance de fuir, en vous voyant fêter à partir du Canada, le 3ème Mandat d'IOG.....
On dit que le nègre à la mémoire courte, à ceux de la Somali ou de l'Éthiopie, organisateurs ou participants à la soirée et qui ne peuvent se mettre dans la peau d'un(e) Djiboutien(ne) comme ils se refusent de s'intégrer ou suivre les principes nobles de cette société d'accueil du Canada, j'aimerai bien qu'il fasse l'effort de mémoire, de la gratitude et se rappeler que Djibouti, ce pays aujourd'hui meurtrit, leur a donné l'asile dans ce passé non loin, quand eux fuyaient Siad Barré de la Somali et Menghuistu de l'Éthiopie.
Abou Amin
Sec Gen du PRIDE
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