Non content de vivre au frais du contribuable canadien, on le retrouve depuis quelques temps, animant toutes les sauteries pour se faire remarquer du seigneur de Djibouti, le voici ici dans sa dernière entreprise honorant la soirée à l’Hôtel Chimo d’Ottawa, financée par son maître le Voyou de la République de Djibouti, le dictateur IOG, pour le 3ème mandat anticonstitutionnelle et la présidence à vie de ce dernier.
Longtemps l’homme fut dans l’ombre à donner des coups bas. Quant aux coups tordus, il s’y connait (très payant pour sa petite personne). D’aucuns pensent qu’il fut à l’origine des coups fourrés contre sa propre communauté d’abord, et contre ses compatriotes Djiboutiens qu’il divise en la circonstance en doigt, en genoux et sous-clans.
Faut dire l’homme est passé dans la meilleure école: le SDS. Mais, à l’instar de Rayale et Guelleh, il sait qu’il ne montera pas les plus hautes marches de la magistrature suprême. Alors, il fait du (By any means necessary) tout ce qu’il faut pour aller aussi loin kit à gravir les échelons en piétinant des cadavres, même ceux de ses cousins les plus proches.
De son passé, il a gardé le souvenir des coups bas, le gout de la zizanie et un zèle à dénoncer à tour de bras son propre clan.
Fidèle à lui-même jusqu’au bout, il est et reste une balance. Une balance cherchant désespérément à briller à bon compte sur le malheur des autres.
Ces derniers temps, on dirait que le temps le presse, et il est poussé par un besoin irrépressible de se faire utile à IOG, comme s’il avait peur (de voir ressortir son passé) de voir sortir des cadavres des garde-robes, alors il court le dénommé Djama Guelleh. Il parade son ombre triste. Cherchant par tous les moyens un tremplin pour s’acheter une respectabilité lui faisant défaut aux yeux de son prochain.
Personnage vil, le lascar a compris une chose : pour parader au ciel d’IOG, il faut ramper à plat ventre. Et de prendre son rêve de soleil en patience. Comme une vipère en attendant son tour…
Et l’on ne peut éprouver que répulsion à ses simagrées crapuleuses. Ces récentes courbettes sans honte devant IOG. Sa jubilation à baver, ses salamalecs de traitre. Ses manies à dénoncer devenues réflexe naturel…
Et ses petits yeux d’hyènes pourléchant les os d’un cadavre…
Comme IOG, il a passé à la sinistre maison des sycophantes, et nagé dans les eaux glauques de la Mouchardise. Comme lui, il porte le même nom : Guelleh. Mais la ressemble ne s'arrête point là.
À trop chercher le soleil, on finit par s’y bruler. À trop jouer au malin, on finit par tomber sur plus coriace que soit.
Si tant des nôtres, ont couru jusqu’ici, si nous nous sommes exilés jusqu’au pôle Nord, ce n’était point par amour du blizzard glacé ni les paysages sublimes. Ce n’était pas par amour de ces longs hivers infernaux mais pour fuir un régime de non droit, primitif et répressif. C’est parce que IOG et son régime ignoble sévissait au pays avec ses barbouzes comme le petit corbeau Djama Guelleh.
Longtemps, nous nous sommes résignés pour laisser le temps guérir nos plaies et prêcher la solidarité de notre diaspora, mais notre silence ayant été mal interprété, lui et d’autres sycophantes de sa trempe n’ont de cesse ces derniers temps ménagé les vrais victimes.
Nous, les victimes, les vrais, nous avons décidé de parler, de passer aux actes aussi... Nous allons mettre des dossiers concernant ce Djama, à la disposition des tribunaux. Et nous verrons comment le tonton macoute défendra son funeste passée dont nous avons copie en main.
A tort, ou à raison, il portera devant la Cour la responsabilité des dérives de ce régime inique puisqu’il est lui-même l’incarnation de cette bête à double visage.
Sereins et avec une foi sans conteste dans la justice de notre terre d'accueille, le Canada et par la volonté divine nous aurons un jour, gain de cause contre nos bourreaux.
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Abdi Dougsieh (Auteur) :La diaspora djiboutienne d’Ottawa est scandalisé par le cancre qui s'est réveille parmi eux, en l’occurrence Ahmed Youssouf Bakal, qui a terni leur image et créé la zizanie entre les différentes tribus de la communauté dans le seul but de faire campagne pour un poste de député que son feu père avait abandonné afin de s’opposer à la politique de son beau frère Gouled. En abandonnant son poste de député en 1977, le feu Youssouf Bakal fut un des premiers demandeurs d’asile politique en Somalie de Siad Barré avec qui il est resté jusqu’à sa mort. Mais comme dit le proverbe somalien c’est du feu que naissent les cendres.
N’ayant jamais été à l’école, n’arrivant pas à s’insérer au Canada et fatigué de l’aide sociale et du froid, le jeune Ahmed Bakal a eu l’idée, d’organiser une soirée comme son oncle maternel aime pour soutenir la dictature à Djibouti en utilisant des gens qui voulaient en découdre pour une fois avec une communauté spécifique ou bien avec les immigrants arrivés après 1977 à Djibouti, comme si elle les avaient (embouteillé) en 1991, mais se sont trompés de cible.
Lors de ce party, à part les artistes qui étaient payés pour leur travail, toutes les communautés djiboutiennes n’y étaient pas présentes à l’exception de Rashid Luftansa (Issak) et Bakal Abdi Bakal (Mamasan). Selon des sources d’Ottawa, ceci aurait dérangé le cerveau de la soirée qui demande maintenant au technicien vidéo de coûte qu’a coûte multiplier les images pour faire croire à au couple d Haramous que la soirée à rassembler tous les djiboutiens, toutes tribus confondues. Il a été même suggéré au technicien vidéo de faire du collé copié avec d’autres vidéos d’autres cérémonies pour augmenter les nombres de personnes d’autres communautés apparaissant dans la vidéo et ceci moyennant un peu plus d’argent ou bien attendre le retour les techniciens de RTD en mission actuellement à Djibouti. C’est normal jeune homme, tu portes que uniquement et rien d’autres que les gênes de ton oncle maternel. En fait, on hérite des défauts de son oncle maternel.
Selon les personnels de l’hôtel deux membres de l’organisation ont s en venus à la main à la fin de la soirée juste dans l’espace de stationnement suscitant l’intervention de la sécurité de l’hôtel. On ne nous a pas signalé de dommages mais cette bagarre serait liée à une histoire de détournement d’argent au sein groupe responsable de l’organisation. L’argent pour la soirée que Kadra Haid a envoyé à travers une parente, installée à Toronto a été en grande partie détournée par une personne que nous tairons le nom mais que nous ne manquerons pas de lui passer le Mabrouk pour son mariage qui a eu lieu la semaine dernier justement par coïncidence a Toronto ….Libaax.
Bref, l'affaire est déjà dans les mains de la GRC au bureau d'Ottawa et ces derniers ont déjà commencé à l'analyser pour bien identifier qui est réellement djiboutien, somalien ou éthiopien parce que apparemment tout le monde prétende être des djiboutien malgré des refugies somaliens et éthiopiens.
Lisez moi ce que le sans dessein, un sans-gêne de la pire espèce, un charognard ce délectant dans de la chaire humaine, un rapace en amour avec l'argent facile, un certain Zombie connut sous le nom de Rachid LufThanza,
Vivant à Ottawa et venant de gagner à la loterie du VOYOU de la République de Djibouti en se faisant payer ses deuxièmes noces aux frais du contribuable de Djibouti, pour se soulager, il se confesse à Mohamed Awaleh SUR LA SOIRÉE DU 8 JANV,... CÉLÉBRANT LE 3ÈME MANDAT ANTICONSTITUTIONNEL DU VOYOU IOG DONT IL ÉTAIT L'ORGANISATEUR EN CHEF..
En voici 3 extraits : (ESPÉRONS QUE SA NOUVELLE CONQUÊTE SAIT AU MOINS QU'ON VIENT DE LUI PAYER LE "MEXER" ET LA DOTE AVEC DES FONDS MAL ACQUIS.....AVEC DU ""HARAM"" QUE SA NOUVELLE FAMILLE DEVRA PAYER DE LEUR VIVANT OU DANS L'AU DELÀ, à moins que ce langage soit du Javanais aux yeux de sa nouvelle épouse, après tout : "Tout ce qui se ressemble s'assemble"...N'est ce pas !!!!.)
Mohamed Awaleh : “Let me start out by asking you, Why did you organize this event?”
RÉPONSE DU MORPION LUFTHANZA : He took a sip with his drink and said, “I wanted the world to know, how the President Ismail O. Guelleh, has modernized the Djiboutian’s economy and helped Somalia."
(Maintenant question modernité de l'économie de Djibouti, on se laissera pas donner des lessons d'experts par le premier imitateur minable de Gainsbourg, on sait ou en ait le pays, c'était juste pour donner plus de crédibilité à la 2ème partie qu'est : "AIDER LA SOMALIE"....Voici les raisons qui ont pousser ce morpion pour piétiner nos cadavres, victime du VOYOU IOG)
Mohamed Awaleh : When I told him what their opponents think about him and the co-organizers of the event: sell out.
RÉPONSE DU MORPION LUFTHANZA : He shrug off and said: “we are in a free country, they could say wherever they like".
RÉPONSE DU MORPION LUFTHANZA : "One should not attack a Head of a State simply he/she doesn't like with his tribal affiliation or merelly for personal vendetta.
Mohamed Awaleh : Mr. Rachid thinks a lot Djiboutian attack the President of the Republic of Djibouti just because of his clan.
(NON C'EST SURE IL EST ATTEINT DU MÊME POISON QUI A DÉTRUIT LA GRANDE SOMALIE CERTAIN !!!!......UNE VRAIE POURRITURE TRIBALE CE GARS LÀ, JE COMMENCE À COMPRENDRE POURQUOI IL PASSE SEUL, 2/3 DE LA JOURNÉE DANS LES BARS DANS LE MONOLOGUE DU PICHETS)
http://www.safaripost.net/artshow.aspx?ida=582
Vous connaisssez mal lufthansa ; ce type detestait ce pays et ne cessait de critiquer traitant parfois de bedouins ce noble peuple : mais il n est pas si stupide que ca au fait il est tres content de voir sombrer ce pays et a ses yeux seule IOG pourrait le precipiter dans le gouffre;
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