Au finish le plat arrosé à l'uranium appauvri à une odeur de souffre et une vision macabre élevée à la puissance incommensurable de la barbarie, ou l’apologie de la lâcheté est reconnue unanimement comme une qualité sociale primordiale au service du terrorisme d'États, la raison du plus fort fait loi et dénie le droit.
Des catastrophes d'origine humaine préméditées réduisant des pays à l'état de ruines post-apocalyptique et des populations civils entières décimées sans que ces crimes n'affectent les consciences ou soient traités à leurs justes gravités par les institutions internationales et les consortiums médiatiques.
Ces derniers par la prostitution de la déontologie journalistique, sont devenus la pièce maitresse de cette forfaiture vers la domination et l'hégémonie impériale sur le monde.
La confession du journaliste John PILGER à ce titre est édifiante : Peu après l’invasion de l’IRAK en 2003, j’ai interviewé Ray McGOvern, un des officiers du groupe d’élite de la CIA qui préparait le rapport quotidien des services de renseignement pour le Président. McGovern se trouvait au cœur du monolithe de la « sécurité nationale » que constitue le pouvoir américain et a pris sa retraite avec les félicitations du président. La veille de l’invasion, lui et 45 autres officiers supérieurs de la CIA et d’autres services de renseignement ont écrit au Président George W. Bush pour dire que les « tambours de la guerre » étaient basés sur des mensonges et non des renseignements.
« C’était du bidon à 95%, » m’a dit McGovern.
« Comment ont-ils fait pour s’en tirer ? » lui ai-je demandé.
« C’est LA PRESSE qui a permis aux cinglés de s’en tirer ».
« Qui sont les cinglés ? »
« Les gens de l’administration Bush ont des croyances assez proches de celles exprimées dans « Mein Kampf »....Ce sont ces personnes qui, dans les milieux du sommet que je fréquentais, étaient qualifiés de « cinglés » », répondit McGovern.
Avec le recul, on peut affirmer sans équivoque que les croyances de l'administration Bush que McGovern comparait déjà au FASCISME, ont de loin été surpassées par l’actuelle administration.
Affublée du Prix Nobel de la Paix et plus sournoise dans ses démarches que la précédente, celle-ci a quadruplé les assassinats ciblés par les drones et élargi ses interventions militaires vers le continent Africain. Devant le déclin économique de l'empire, à défaut de pouvoir se mesurer directement aux puissances émergentes créditrices, on leur fait la guerre par proxy afin de stopper l'expansion, on s'en prenant aux plus faibles.
Les administrations ne sont point les seuls en cause, le dessein stratégique et les malaises sont plus profond, prenant leurs sources à la racine de la doctrine impériale et le capitalisme sauvage dont on ne cesse à ce jour, de nous en vanter la gloire et les mérites malgré les perversités de ce système ayant atteint des sommets, loin des préoccupations de la très grande majorité des occupants de cette planète : Alors que les États-Unis et nombre de pays européens croulent sous des dettes publiques gigantesques, d’un montant souvent comparable à leur PIB, et alors que la rigueur sociale atteint tous ces pays, à combien pourrions-nous estimer les coûts réel de ces guerres déclenchées au lendemain du 11 Septembre, sans compter les coûts humain ; morts, blessés, invalides, les dépenses de sécurité…etc ?
Selon l’Institut d’études internationales de la Brown Universty, les coûts de l’invasion de l’Afghanistan puis l’Irak s’élèvent à environ 4.000 milliards de dollars US. Ajouté à ceci les 3500 milliards US pour renflouer les banques et vous comprendrez l’ampleur du délire.
Comment pensent-ils sortir de ce gouffre abyssal, comment rembourseront-ils ses emprunts ?
C’est simple, comme par le passé ; il suffit de se rappeler du Plaidoyer de l'Évêque Maury (de France) contre l'abolition de la traite des esclaves et la libération des colonies, présenté à l'Assemblée Nationale française en 1791 : "Si vous deviez chaque année perdre plus de 200 millions de livres que vous recevez actuellement de vos colonies (africaines) ; si vous n'aviez pas le monopole du commerce avec vos colonies pour alimenter vos usines, entretenir votre flotte, faire marcher votre agriculture, payer vos importations, satisfaire vos besoins de luxe, rétablir l'équilibre de votre commerce avec l'Europe et l'Asie, alors, je le dis tout net, le royaume serait immédiatement perdu".
LES AFRICAINS SONT AUJOURD'HUI ACCULÉS AU PIED DU MUR ET SOUS NOS PIEDS LA TERRE EST FERME ON NE SAURAIT DESCENDRE PLUS BAS MÊME SI ON LE DÉSIRAIT AFIN DE FUIR CES CRIMES ET CETTE MISÈRE.
PAR CONSÉQUENT N'AYANT PLUS RIEN À PERDRE, UNE SEULE ALTERNATIVE S'OFFRE À NOUS ; LA LÉGITIME DÉFENSE, AVANT QU'ELLE NE DEVIENNE, ELLE AUSSI SYNONYME OU SOIT CLASSÉE ; ACTE TERRORISTE.
DES ACTIONS COLLECTIVES - L'UNION DE NOS VOIX FACE À L'ENNEMI COMMUN - DES RÉVOLUTIONS PACIFIQUES ET DÉSOBÉISSANCES CIVILES À TRAVERS TOUT LE CONTINENT.
DÉBARRASSONS-NOUS DE CES DESPOTES QUI LEURS FACILITENT LA TACHE ET FINANCENT LES COMPAGNES POLITIQUES DE L'OCCIDENT AVEC L'ARGENT PUBLIC DU CONTINENT.
INSTAURONS DES DÉMOCRATIES ADAPTÉES AUX BESOINS DE CHAQUE PEUPLE ET PRENONS NOTRE DESTINÉ EN MAIN.
À DÉFAUT DE QUOI, SI LA TENDANCE SE MAINTIENT, JE CRAINS FORT QUE NOUS NOUS SOYONS TOUS CONDAMNÉS À REVIVRE LES SOUFFRANCES DE NOS ANCÊTRES ESCLAVES ; CAR NOUS SERONS BIENTÔT TOUS AUX FERS.
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Par le Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali
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