Devant l’échec du machin USN, Dieu, la foi et les apparences viennent à la rescousse de l’immoralité, un dernier recours afin de se payer la tête des djiboutiens(nes)

Notre sœur, Ifrah Ladyeh Bogorreh :

• Épouse de Rachid Moussa Dawaleh ; frère de l'actuel ministre des finances, le remplaçant de Boreh au truandage du trésor public et l’endettement exponentiel du pays.
• Proche cousine de notre ami et nouvel ambassadeur de Djibouti en Belgique.
• Cousine clanique du porte-parole USN et Cheval de Troie d’IOG, un détail utile dans l’assemblage du Puzzle, au-delà de la victimologie trompeuse des arrestations et défilés en justice, cherchant à donner à la grenouille l’apparence d’un bœuf. C’est ainsi qu’on fabrique les faux-héros en politique.

Après 10 ans de boycottes électoraux inutiles, une nouvelle coalition électorale porteuse d’espoir d’un changement politique, le rétablissement du droit et le respect du citoyen, ne s’envase dans les choix suivants, qu’avec un agenda à contre-courant des vraies aspirations et attentes du peuple :

• Un porte-parole, qui rentre de 8 ans d’exil, trainant derrière lui une condamnation pour Haute Trahison envers la Nation, 2 poursuites en diffamations aggravées et dont le parti est banni sur la scène nationale,
• D’un génocidaire vomit par toute la population. Ancien 2ème homme d’un régime totalitaire, recyclé sans jugement tête de liste à la députation et président d’une assemblée fantôme,
• D’un escroc, ayant contribué largement à l’endettement du pays et dont on vient de découvrir 2 comptes Off-Shore dans un paradis fiscal. Ancien protégé d’IOG, ayant fait largement fortune à Djibouti en moins de 10 ans, s’achète aujourd’hui une nouvelle image d’opposant avec l’argent détourné du peuple. L’opposition n’a rien à dire, si ce n’est l’applaudir et se soumettre jusqu’à lui concéder le titre de représentant de ceux qu’il a dépouillé. Le changement version machin USN.

Ceux qui avaient encore des doutes sur nos recherches et compréhension des enjeux en arrière-plan de l’agenda USN, voici une autre confession révélant les véritables motivations :

• Du refus de la transparence à laquelle le PRIDE convie toute l’opposition, depuis des années,
• Le vrai calcul colonial à la base de l’agenda USN et les manipulations postélectorales,
• Les décisions en circuit fermé entre les 5 dirigeants de l’USN, principaux acteurs de la division et l’immobilisme de l’opposition de l’UAD à l’USN. Au nom de toute une Nation, sans consultation aucune, utilisent aujourd’hui, Mr Beni-Oui-Oui Ahmed Youssouf, au même rôle dédié à Barkhat Gourad, Dileita Med et Abdoulkader Kamil, au nom de la diversité ethnique de façade, ayant maintenu les tyrans Gouled et IOG au pouvoir. Cette fois-ci, la mission est d’assurer et légitimer la succession clanique à la tête de l’État.

Humilier individuellement soit collectivement ses adversaires politiques est un art, qu’on sait tous, IOG affectionne au plus haut degré, allant jusqu’à l’élimination physique si nécessaire, et vient de le démontrer avec mépris et sans gêne, en bouclant sa boucle du 3ÈME Premier Ministre, de la 3ème région d’OBOCK, après TADJOURAH et DIKHIL. Le message politique est clair pour ceux avec la tête hors de la boue, cette communauté n’est à ses yeux qu’un produit facilement manipulable, étiqueté : jetable après usage, tel un préservatif.
Les futurs Pirates de la direction USN, menés par le bout du nez par l’ancien directeur génocidaire du cabinet Gouled, semblent apprécier cette formule. Qui de mieux placé donc, qu’un autre mouton de cette communauté pour vendre et mener à bien le nouvel agenda de la rétention du pouvoir. C’est au Beni-Oui-Oui de l’ARD à qui fut confiée cette mission, il s’est même battu bec et angle pour le poste, tout en empêchant depuis des mois, son propre parti de tenir son congrès annuel, afin d’éviter de rendre des comptes ou se faire montrer la porte.

Lisez attentivement le texte descriptif du CV de Mme Bogoreh, en début de vidéo, puis son intervention ; le message codé qu'elle adresse à IOG, le patron de l’UMP au côté de qui, elle militait jusqu'aux législatives de février, avant la petite crise de colère du beau frère ministre et pourvoyeur Ilyas Moussa Dawaleh, dépouillé du portefeuille du budget en faveur du nouveau ministère crée fin mars, l’empêchant dorénavant d’accorder les contrats juteux à sa famille proche. Depuis, la voici convertie opposante au même titre que l’escroc Boreh. Elle dévoile ici ses premiers conseils à IOG et non des moindres !!! L’éthique et l’intégrité de la direction actuelle du machin USN étant ce qu’elle est, la nouvelle mascotte du groupe est trop friquée pour ne pas susciter les convoitises.

Nous avons retenu la proposition suivante de Mme Bogoreh, sans doute celle à la base des négociations sollicitées avec le régime, s’adressant à IOG et je cite : « On ne vous expulsera pas du pays, vous et vos enfants pourriez y vivre en paix, sans être inquiété, si et seulement, vous acceptiez nos exigences……. » Puis exige sa « Démission » !!!

• Quelles exigences, formulées et publiées quand et par qui, approuvées au nom de qui et mandatés par qui ??? – Diantre, qui sommes-nous pour poser toutes ces questions, lorsqu’un titre politique aussi fourbe soit-il, semble procurer à l’USN le même délire et impression qu’IOG, d’être au-dessus des lois et des valeurs. C’est du Top-Secret, on n’est pas supposé douté ni même tenter de comprendre ce qui se trame dans notre dos, et puis idiots que nous sommes sans le génie politique des anciens caciques du régime et les carriéristes USN, la stratégie est tellement complexe, qu’avec un dessin on ne comprendrait jamais.
• Devant l’injustifiable, certains agités USN, accusent le PRIDE, de conspirationnistes avec une fixation sur la relève d’IOG, mais que les intentions de l’USN ne sont en somme que noble, une simple revendication de la victoire des législatives. Si tel était le cas, pourquoi alors aujourd’hui exigent-ils ouvertement sa démission ? – Ceci confirme la lecture du PRIDE. Le vol des législatives n’était qu’un moyen d’exploiter la colère du peuple, l’objectif principal étant la déstabilisation du pays. Un coup d’État renversant le régime, prenant tout le monde par surprise, nous imposons leur sauveur providentiel, qu’une mise en scène digne d’un scénario hollywoodien, inviterait quelques centaines de naïfs, à libérer de prison et assermenter par qui d’autre qu’un des nouveaux religieux de la politique. Je vous laisse deviner le reste. Les mêmes manipulations qu’IOG vu qu’ils ont tous été à son école.
• Pour une phrase aussi courte, le message a été bien pensé. L’USN ayant lavé IGH et ses 2 cousins de tout crime contre l’humanité et l’escroc Boreh débarrassé de tous ses casseroles, devenu juge et partie Mme Bogoreh à son tour, place la cerise sur le Sunday, en promettant ici la même sérénité à IOG et toute sa famille. En somme un non-lieu, il s’est rien passé de bien notable à Djibouti depuis 1977, la justice et la prison continueront d’avoir la même odeur, d’un bagne réservé exclusivement aux insoumis des masses. Ce précédent de taille établit par le machin USN dans le cas d’IGH et ses 2 cousins s’appliquera aussi à tout membre de l’actuel régime et permettra aux prochains de nous prescrire la même médecine IOG.  Vive le changement et la démocratie ?

En conclusion, si la majorité silencieuse ne met pas un terme à ce cauchemar dans les plus brefs délais, nous nous réveillerons un jour, pris dans le tourbillon infernal de l’agenda USN, d’une lutte de tranchées envahissant la scène politique et exacerbant les tensions sociales entre Mamassan et Fourlaba, 2 clans de la même tribu, dirigeant le pays depuis 1977 ; vendue aux braves comme une lutte nationale pour le changement, une manipulation sans scrupule de la misère d’un peuple par ceux-là même responsables du présent chaos politique, socio-économique et le surendettement, d’un pays au bord de la faillite.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)