Le contraste est à la hauteur de nos déceptions |
Les parasites du même cercle d'influences des migrants, souhaitent continuer à saigner ce pays par un petit tour de passe-passe du jeu de la chaise musicale, une passation de consigne que le Machin USN est entrain de vendre encore, comme "LE" changement.
IOG, nous avait aussi présenté sa candidature de 1999, sous le même signe du changement, tout en étant le 3ème homme du régime précédant qu’il servit durant 22ans, et tout en omettant de préciser la nature du changement : 15 ans plus tard, on ne peut que constater, on n’est plus à la surface de l’eau au fond du puits, mais enfouis dans la vase.
Seul pays au monde dirigé entièrement par les nouveaux arrivants, depuis l'escroqueries des indépendances africaines.
Résultat : Le contraste est à la hauteur de nos déceptions - Il est temps de mettre les NATIFS à la direction de ce pays.""
Omar Jaga : Une école « du bout de nulle part » à Djibouti.
Chaque jour, plus de 4 000 camions partent des ports de Djibouti vers l’Ouest pour acheminer du fret jusqu'en Éthiopie. Ils empruntent un itinéraire qui traverse un paysage austère et aride, où les températures peuvent atteindre 50 °degrés. La route est mauvaise et le trajet laborieux. Une heure après quitté la capitale environ, après des kilomètres de désolation et de chaleur, une petite école surgit au sortir d’un virage. Il n'y a rien d'autre : ni sortie, ni village, ni curiosité naturelle dans le paysage qui expliquerait pourquoi elle est bâtie là.
Devant la salle de classe, les camions défilent dans un ballet incessant, vers l’Éthiopie. J’essaie d’imaginer ce qu’ils transportent : des réfrigérateurs neufs, des voitures ou des iPad, peut-être. Cette route est une artère économique, moderne et florissante. Un jour, une roue, qui s’était envolée d’une remorque, est venue heurter le mur de l’école, mais c’est tout. Les poids lourds ne s'arrêtent jamais ici. Mon collègue Mourad, qui travaille à la Banque mondiale depuis bien plus longtemps que moi, ne se rappelle pas une telle désolation. Pourtant, il a été nommé dans des pays pauvres comme le Tchad et le Soudan du Sud.
Nous sommes invités à nous rendre dans une classe de CE2 qui nous accueille avec le sourire et avec curiosité. Parmi cette trentaine d’enfants de neuf ans, la plupart sont très petits. Malheureusement, pour nombre d’entre eux, l'absence d’une nutrition appropriée et de stimulation intellectuelle dans la petite enfance leur laissera des séquelles toute leur vie en termes de développement. Il y a par ailleurs dans la classe des élèves plus grands (16 ans pour les plus âgés) qui essaient de maîtriser les éléments fondamentaux du programme de CE2. Ils en imposent par leur taille, mais, manifestement, la majorité d’entre eux n’arrivent pas à suivre parce qu’ils ne comprennent pas le français, la langue utilisée en classe (ils parlent Afar dans leur famille), qu’ils ont parcouru 3 kilomètres sous la chaleur pour arriver à l’école, qu’ils n’ont pas assez mangé ou qu’ils ne parviennent tout simplement pas à se concentrer. Nous demandons à deux d’entre eux de lire une phrase en français ou en arabe, et c’est la déception. (Consulter l'oeuvre d'IOG)
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