La facilité, les raccourcis et l’immobilisme comme devise, prient le ciel pour un soulèvement populaire salvateur. Des innocents qui verseraient leur sang et donneraient leur vie, pour un changement de façade, dans la même continuité, au profit d’un autre petit groupe de chacals affamés, profondément hostile à tout débat, dialogue, et consensus démocratiques.
Se clament d’une opposition politique, tout en tournant le dos à tout devoir et responsabilités de la fonction à laquelle ils postulent.
À Djibouti, l’opposition politique a confirmé depuis l’arrestation des prêcheurs le 25 février 2013, les propos qu’IOG martelait sans cesse ; ils n’existent que dans l’imaginaire et à travers la propagande de quelques activistes claniques. Dans les faits, les partis politiques ne sont que des sigles vides de toute structure et d’organisations dignes de ce nom, aucun repère idéologique et vision nationale.
En somme une poignée de caméléons, unis par une seule et unique motivation ; remplacer le calife.
Face à cette situation des plus embarrassantes, lorsque ça fait leur affaire, le dédain et l’effronterie du machin USN s’octroient toujours le meilleur rôle ; concédant une pluie de félicitations à l’activisme de la diaspora, sans qui notant le bien, on aurait jamais entendu parler d’USN, mais bof ce n’est juste qu’un détail !!!
Par contre, si cette même diaspora rejette la complaisance et se fait critique, le naturel revient au galop ; nous sommes tous une bande d’imbéciles sur une chaise derrière un écran selon le Dr Abbatté, tandis qu’eux les héros du terrain, même si l’isolement de ce groupe sur la scène nationale est plus qu’évident aujourd’hui, enfermé dans une logique de parlement fantôme et rencontre de garage, incapable d’organiser un seul meeting digne des dernières législatives depuis 3 mois. La preuve que la ferveur de février 2013, n’a jamais été l’œuvre du machin USN.
La même recette, les mêmes acteurs refusant l’alternance et la relève générationnelle depuis des décennies au sein même de leurs groupes, et l’insignifiance des mêmes 5 saboteurs auto-proclamés représentants de toute l’opposition, de l’UAD à l’USN, source principale du maintien au pouvoir de l’actuel régime, et à chaque échéance se trouvent un bouc émissaire à blâmer, se faire valoir et maintenir le statuquo.
La population de Djibouti a trop souffert le calvaire de ces 37 dernières années pour se laisser entrainer dans le même piège en succombant à l’appel des sirènes de la fraude.
Aujourd’hui, la mise en place de la 2ème République des Braves est à notre portée et notre devoir plus qu’évident, soit on saisit cette chance sans partisannerie clanique et culte de la personnalité, soit d’autres se chargeront de nous imposer leur agenda.
Les cartes sont à découverts et nos responsabilités plus transparentes que jamais ; aujourd’hui notre ennemi principal n’est pas IOG, dont on pourra se débarrasser une fois la transition politique prête, qui lui-même est selon nos infos de sources sûres, plus affaibli que jamais au sein de son groupe, contraint au rôle de figurant par l’establishment de la pérennité du régime. Il nous faut tous, dès à présent manifester ouvertement le besoin urgent de reformer l’opposition et renouveler sa clique dirigeante. Ce devoir nous incombe à tous chers compatriotes, personne ne viendra le faire à notre place.
NOUS INVITONS TOUTE LA POPULATION DE DJIBOUTI-VILLE ET LES 5 RÉGIONS À EXPRIMER LEURS DÉCEPTIONS DEVANT LE VIDE DE PERSPECTIVE ET L'ABSENCE DE VISION NATIONALE AU SEIN DE L’USN, LES FORCER À VOIR PLUS LOIN QUE LEUR NOMBRIL ET PRÉPARER UNE RELÈVE RESPONSABLE.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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