Djibouti : 3 mois après les législatives et une communication agressive dénonçant cet agenda, le PRIDE n’est plus seul à poser des questions et à remettre en cause la légitimité de la direction actuelle de l’USN

Le vent commence à tourner, les skippers se font nombreux et le bateau remet le cap sur le réel changement mobilisateur de février 2013.
Le boycotte de l'agenda USN, lancé par le PRIDE dès le 25 fév, a largement été suivi par les Braves. Les 6 partis imaginaires, des sigles vides de toutes structures et membres, sont toujours incapables de faire bouger les 5 régions et la capitale comme lors des meetings des législatives. Même les fiefs d'IGH et Aden Robleh, Arta et Ali-Sabieh ont suivi le mot d’ordre : UN PLAN DE MATCH AVANT ET NON APRÈS LE MATCH

Ça n’a rien d’un changement, l’actuelle direction, les mêmes anciens disciples du boycotte inutile de la défunte UAD, a prise en otage et détourné l’USN de l’objectif initial. 10 ans assis sur le derrière, le nez dans les nuages et le cœur au sabotage de l’Union de l’opposition se prêtèrent depuis février aux mêmes exercices qu’IOG ; le favoritisme clanique et recrutement de proches familles sur la liste USN, recyclage de criminels de guerre, de bandits et de manipulateurs.
Il nous faut libérer l’USN et reprendre le combat avant qu’ils nous condamnent au même immobilisme des 10 dernières années, en perpétuant la tyrannie.

Nous sollicitons de nos membres et tous nos compatriotes sur le terrain d’accentuer les pressions ; on ne peut plus se permettre le luxe de ménager l’égocentrisme, les caprices et ambitions d’une poignée d’hommes au nom d’une coalition chimérique. L’intérêt national avant l’égo.

Voici ce que pensent des djiboutiens(nes) de la même médecine qu’appliquent à l’USN, les mêmes anciens dirigeants de l’UAD ?
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)