Sachant ce qu’il est advenu de la 1ère, le même dirigeant déclare une 2ème fois : « En 2016, je m'en irai. Cette fois, je peux vous le jurer. »
L’expression « Cette fois, je peux vous le jurer » est en soi une confession reconnaissant le 1er mensonge si ce n’est une tendance. Si le fait de le jurer cette fois, pouvait rassurer les novices, rappelons qu’à chaque investiture et à 3 reprises, la main droite sur le Coran, IOG prêta à chaque fois le serment suivant :
- « Moi, Ismaël Omar Guelleh, je jure devant Dieu et devant mon peuple que j'accomplirai cette lourde mission avec transparence et justice. » -- L’a-t’ il accompli ?
- « Je jure solennellement de respecter et de faire respecter la constitution du mieux de mes capacités, j'accomplirai loyalement les hautes fonctions qui m’ont été confiées» -- L’a-t’ il respecté ?
- J.A : Avez-vous déjà une idée en tête, de qui vous remplacera?
- IOG : Oui, à peu près. Mais je ne vous la dirai évidemment pas. Le profil apparaîtra peu à peu.
- J.A : Sera-ce un membre de votre famille?
- IOG : En aucun cas. Je peux vous le jurer.
Libre à ceux refusant la remise en question et l’innovation du combat politique, condamnés à patauger continuellement dans leurs propres contradictions, s’entêtent encore et toujours à vouloir tenter l’absurde d’une négociation d’arrière-cour, loin de toute transparence par conséquent contre tout principe démocratique, avec un pouvoir dont pourtant il reconnaissent la nature.
AU PRIDE, NOUS AVONS CHOISI UNE AUTRE VOIE, VOICI NOS 2 PROPOSITIONS AU RÉGIME IOG COMME À TOUTE LA RELÈVE POLITIQUE :