Sachant ce qu’il est advenu de la 1ère, le même dirigeant déclare une 2ème fois : « En 2016, je m'en irai. Cette fois, je peux vous le jurer. »
L’expression « Cette fois, je peux vous le jurer » est en soi une confession reconnaissant le 1er mensonge si ce n’est une tendance. Si le fait de le jurer cette fois, pouvait rassurer les novices, rappelons qu’à chaque investiture et à 3 reprises, la main droite sur le Coran, IOG prêta à chaque fois le serment suivant :
- « Moi, Ismaël Omar Guelleh, je jure devant Dieu et devant mon peuple que j'accomplirai cette lourde mission avec transparence et justice. » -- L’a-t’ il accompli ?
- « Je jure solennellement de respecter et de faire respecter la constitution du mieux de mes capacités, j'accomplirai loyalement les hautes fonctions qui m’ont été confiées» -- L’a-t’ il respecté ?
- J.A : Avez-vous déjà une idée en tête, de qui vous remplacera?
- IOG : Oui, à peu près. Mais je ne vous la dirai évidemment pas. Le profil apparaîtra peu à peu.
- J.A : Sera-ce un membre de votre famille?
- IOG : En aucun cas. Je peux vous le jurer.
Libre à ceux refusant la remise en question et l’innovation du combat politique, condamnés à patauger continuellement dans leurs propres contradictions, s’entêtent encore et toujours à vouloir tenter l’absurde d’une négociation d’arrière-cour, loin de toute transparence par conséquent contre tout principe démocratique, avec un pouvoir dont pourtant il reconnaissent la nature.
AU PRIDE, NOUS AVONS CHOISI UNE AUTRE VOIE, VOICI NOS 2 PROPOSITIONS AU RÉGIME IOG COMME À TOUTE LA RELÈVE POLITIQUE :
A- La mise en place, dans les plus brefs délais :
- D’une Commission chargée de la Réforme de la Constitution djiboutienne,
- Les membres de cette commission, composés à parité égale entre l’UMP au pouvoir et les leaders de l’opposition politique, légalisés ou pas,
- Le président de cette commission doit être le reflet du réel changement auquel nous aspirons tous ; un candidat du consensus membre de l’opposition,
- La version finale de la nouvelle constitution, présentée avant la fin 2014 ; à l’assemblée Nationale, au conseil constitutionnel et à l’exécutif,
- Ratification de la nouvelle constitution selon les futures dispositions prévues en son sein.
- La formation dans les plus brefs délais, d’un nouveau gouvernement de transition sur un consensus dépourvu de tout esprit de règlement de compte politique,
- Un gouvernement responsable, tourné vers les réformes de l’État et la création des richesses,
- Composé à parité égale entre l’UMP et les leaders de l’opposition.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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