Entre les beaux discours politiques des «béni oui-oui» présidents, principaux acteurs du désastre en Somalie, et la realpolitik, y a un abîme sans fond.
Ceux qui n’ont d’oreilles qu’à ces discours manipulateurs, ne comprendront jamais sur quelle galère ils s’embarquent, ni jamais en mesure de distinguer l’ennemi et ses collabos entre les prétendus amis de la Somalie.
La coopération et les relations entre États en général, relèvent d’intérêts politico-économiques ou stratégiques ou les 2 combinés, jamais d’une quelconque amitié, d’autant plus entre mal-élus ou de dirigeants sans aucune légitimité basée sur l’adhésion populaire aux modalités concrètes de l’exercice du pouvoir.
Comme disait Cornélis : « Avoir trop peu de courage, c'est avoir perdu tout courage.», l’homme politique choisit ici, l’avenir, les futurs décideurs de la Somalie, des jeunes graduant d’université, pour asséner ses vérités, sa lecture avisée des enjeux politiques dans la région, partage son livre des influences étrangères et les funestes stratégies du sabotage de l’émergence de l’Afrique comme puissance mondiale, le tout signé par ce courage qui fait tant défaut à quasiment tous les dirigeants et régimes collabos d’Afrique, agissant contre les intérêts des africains.
Si le courage était sa seule source d’inspiration, nous aurions soupçonné chez lui, une certaine naïveté ou une démagogie occultant toute nuance, dénaturant bien souvent la vérité ou encore une quête populiste. Rien de tout ça ne transpire du discours, les faits relatés diffusent une réalité souvent tue sur le continent, tout en soulignant que l’homme porte aussi, un bagage d’expérience des plus utiles à tout patriote :
- Fût Ministre et membre de chaque parlement fédéral de ces guignols de la transition, formé et imposé aux somaliens selon la volonté du commanditaire en chef du chaos somalien, sous Abdiqassim Salad à celui d’Abdillahi Youssouf, du Sheick Sharif à l’actuel Hassan Sheikh.
- Employé auparavant, 17ans durant par des compagnies américaines dans l’exploration pétrolières dans la région, donc en parfaite connaissance des intérêts en jeux. Compare le rôle de la force militaire de l’AMISOM à celui du « Peace Corps Américain » de JFK, ceux dont au PRIDE, nous assimilons le rôle à celui des « artilleurs africains » du 21ème siècle. Des africains bâillonnant toute souveraineté africaine trop nationaliste aux yeux du 1% des faux démocrates, ou toute gouvernance anti-diktats, au seul bénéfice des mêmes profiteurs d’hier de nos sempiternelles et lamentables divisions.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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