Moins d'un cinquième des ménages ville de Djibouti sont connectés au réseau d'assainissement collectif de l'ONED dans les quartiers populaires. Alors que plus de 80% des foyers se servent de latrines individuelles dont les débordements rejettent des eaux usées sur les espaces publics de la capitale.
Des rues commerçantes envahies par des eaux usées stagnantes, des détritus qui jonchent certaines routes, et des Djiboutiens qui restent fatalistes face l'insalubrité.
Mais il existe des raisons structurelles aussi: les dysfonctionnements du système d'assainissement qui prévaut encore dans la capitale. Moins d'un cinquième des ménages des quartiers populaires sont connectés au réseau d'assainissement collectif de l'ONEAD.
Alors que plus de 80% des foyers de ces milieux populaires se servent de latrines individuelles dont les débordements rejettent parfois des eaux usées sur les espaces publics environnants. Plusieurs stations d'épuration des eaux usées du réseau collectif sont même hors d'usage :
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20081212095957/banque-africaine-de-developpement-eau-assainissementegouts-et-eaux-usee-un-enjeu-important.html
PIB Djibouti = 875 $ Millions
Dette = 665 $ Millions
PIB par habitant : 1314 $
Répartition du PNB par secteurs :
agriculture : 4 %
industrie : 16 %
services : 83 %
52 % de la population vie avec moins de deux dollars par jour
70% de Chômeurs longue durée
Dépenses pour l'éducation : 7% du PIB
Dépenses de santé : Dépenses de santé : 6,6% du PIB
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