C'EST LA STRATÉGIE CHOISIE PAR CET HOMME SANS FOI NI LOI, AFIN DE S'ACCROCHER AU POUVOIR, EN FERMANT LES YEUX SUR LES RÉSEAUX DE PÉDOPHILIES DES COOPÉRANTS FRANÇAIS RÉVÉLÉS RÉCEMMENT PAR FRANCE 3 AYANT GÉNÉRÉS PLUSIEURS SUICIDES DE JEUNES ET LÀ VOUS AVEZ LA CONFESSION D'UNE JEUNE COMPATRIOTE QUI A EU LE COURAGE DE NOUS FAIRE DÉCOUVRIR PAR SA BELLE PLUME SON VÉCU ET CELUI DE MILLIERS D'AUTRES PIÉTINÉES PAR DES EXPATS ET DES SOLDATS À QUI IOG DONNENT CARTE BLANCHE POUR FAIRE CE QU'ILS VEULENT À DJIBOUTI, AU NOM DE LA LUTTE ANTI-TERRORISTE.
C'EST UN ""SOS"" D'UNE JEUNE COMPATRIOTE DJIBOUTIENNE "Saada pseudonyme" ET UN ""J'ACCUSE"" DANS SES PROPRES TERMES ET JE LA CITE : ""Tous les Djiboutiens devraient être condamnés pour non assistance à jeunesse en danger.""
TEXTE :
"""Posté 05 novembre 2010 - 10:27 sur le Forums Djibnet.com : http://www.djibnet.com/mabraze/topic/21852-la-prostitution-a-djibouti/
La prostitution à Djibouti ! Le 19/10/2010
« Djibouti, terre d’échange et de rencontre », Hasssan Gouled Aptidon, premier président de la République de Djibouti.
Chers compatriotes, dans notre réflexion sur les mœurs des Djiboutiens, nous aborderons cette semaine un thème autrefois tabou, mais qui s’est banalisé avec l’exode rural et la découverte de l’économie monétaire de la population à djibouti. Il s’agit de la prostitution dans notre pays, devenu terre d’échange et de rencontres des personnes en mal d’amour et d’autres en mal d’argent.
Dans notre culture et dans notre religion, la sexualité, le mariage, le divorce ainsi que toutes les relations entre les hommes et les femmes sont(étaient) régis par des lois très strictes. Jadis, les transgresseurs de ces législations étaient sévèrement condamnés de ce fait, les contrevenants étaient rares. Certains diront que avec la civilisation occidentale les relations sexuelles se sont déréglementées ; d’autres diront encore que ce sont les séquelles de la modernité ou de l’acculturation des sociétés orientales. Mais l’amour vénal n’a jamais eu de prosélytes dans notre société traditionnelle, il était tout simplement inconnu. « La prostitution est un phénomène masculin », disait Françoise Giroud. Par malheur, ce sont les femmes les principaux souffre-douleur.
Ces dernier temps, avec l’urbanisation sauvage, le manque d’application de ces lois a eu pour conséquence l’apparition dans notre peuple de la prostitution et de toutes les maladies sexuellement transmissibles comme le sida ou la syphilis. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le nombre de Djiboutiens qui portent le virus du Sida est estimé à 15% de la population, alors que le ministère de la santé publique ne reconnaît que 3%. Toutes ces maladies vénériennes sont très répandues à travers le pays actuellement.
Autrefois, le pire déshonneur qu’une fille pouvait attirer sur elle et sur son clan c’était d’enfanter hors mariage. Aujourd’hui, les Djiboutiens considèrent ce fait comme une assurance ou une bénédiction parfois. Or, dans la religion musulmane, le mariage d’une fille enceinte est prohibé. Mais « tous les aînés nés après les années 1980, sont bâtards, du moins suspects », m’a dit un djiboutien.
Il y a de cela quelque temps, une adolescente djiboutienne a failli accouché dans la classe en plein cours dans un établissement scolaire de la capitale. Evacuée en urgence à l’hôpital, elle donne naissance à un bébé angélique. alertés, ses parents accourent à son chevet ; assommés, ils découvrent leur fille mère. Non seulement ils ignoraient qu’elle était enceinte, mais ils n’ont jamais réalisé que cette dernière pouvait avoir une conduite aussi exécrable. « La prostitution marcherait moins bien si les hommes n’avaient pas besoin de se confier à tout prix », écrivait Frédéric Dard. De nombreux parents découvrent la grossesse de leurs filles à huit ou neuf mois. Désemparés et abasourdis, ils s’effondrent et provoquent des crises cardiaques.
Les témoignages de certaines d’entre elles sont accablants et font froid dans le dos.
C'est la chair djiboutienne et son innocence qui sont monnayées très chèrement.
Les bars servent aujourd'hui de lieux de rencontres, d'échanges et de trafiques de la jeunesse djiboutienne. Chaque jour, chaque nuit la jeunesse djiboutienne est impitoyablement meurtrie. Dans chaque bar on applique la même politique, vendre au plus cher la chair de la jeunesse djiboutienne sans ce soucier de la loi. Pour se faire, en premier étage de chaque bar ou à côté de celui-ci, la ou le proxénète loue des chambres. En premier lieu pour attirer cette jeunesse innocente, on affiche des bas prix, en appât on leur permet d'organiser des soirées, et après on sympathise pour qu'ils reviennent. Et ils reviennent. Reviennent et ne repartent plus pour mourir lentement, très lentement dans le silence. La solitude. Et le désespoir. C'est comme ça que je suis devenue ce que je suis. J'étais une lycéenne. En classe de première, j'ai mis les pieds pour la première fois dans une boîte de nuit lors d'une soirée dansante inter amis. Naïve comme toutes les autres, je me suis faite prendre par la patronne proxénète. Elle était gentille. Très gentille. Elle a vite conquis ma confiance. Elle se présentait à moi en mère, en sœur, en amie. J'étais conquise. Je ne payais plus rien. C'était presque chez moi. Elle me présentait à tout le monde. J'étais sa fierté. Elle me promettait tout. Au prochain été, j'allais même partir en voyage en France, le pays de mes rêves. Et ce, par le biais de ses amis blancs, devenus mes amis moi aussi.
Conclusion :
Plus que jamais, je suis seule. Seule. Se suicider. J'ai essayé. Mais Dieu ne l'a pas voulu. Aujourd’hui, seule ma grande mère maternelle nous a acceptée mon bébé et moi. Elle m'héberge comme sa fille. Et mon bébé bien qu'il ait les yeux bleus et les cheveux blonds, il restera son petit-fils. Je parlais de ça par réaction. Alors de grâce réagissez ! Au nom de toute cette génération détruite sur les rives de la Rue d'Ethiopie. Réagissez ! L'Histoire ne nous le pardonnera point.» Saada pseudonyme.
Ce sujet n´a pas l´air de déranger grand monde aussi bien dans la diaspora
qu´à Djibouti. Que le premier employeur de jeunes djiboutiennes (car il n´y a presque plus d´éthiopiennes today, raflées en 2003 pour la plupart) soit le milieu de la prostitution apparaît comme une normalité effrayante. Bordel militaire de campagne (BMC) comme disent les bidasses ou Saigon ville pour les journalistes (voir le dernier article en ligne sur Djibnet), je trouve que cela nous enlève encore plus de notre fierté et de notre amour-propre.
Combien de djiboutien (nes) ont dû ravaler leur honte quand, en déclinant leur nationalité, ils se sont vu répondre par un français enthousiaste:
Ou bien sur un ton de connaisseur:
- Hé, tu connais l´"Hermès" ? C´est là-bas qu´il y a les meilleurs "nayas" ...
Je sais bien qu´on n´y peux rien nous , mais voir à quel point nous acceptons cela comme normal en dit long sur nous-même...(et on aime se définir comme des somalis fiers , la bonne blague !) » Un Djiboutien de l’étranger.
Dans un rapport rédigé par des Américains installés à Djibouti, on pouvait y lire : « In Djibouti, the prostitution is a big business ». Ils qualifient cyniquement nos filles de « dociles, propres et pas cher ».
Actuellement, 26 armées étrangères sont stationnées à Djibouti ; on peut citer entre autre : les Français, les Américains, les Allemands, les Hollandais, les Italiens, les Espagnoles, les Japonais…Et leur présence génère des milliards de francs Djibouti par an, et pourtant la population djiboutienne est parmi les plus pauvres au monde. Tous ces soldats veulent se détendre et apaiser leur besoin naturel ; ils possèdent surtout beaucoup, beaucoup d’argent. Officiellement, ces armées luttent contre ce que l’on appelle le terrorisme international et la piraterie dans l’océan Indien et la Mer Rouge, deux voies maritimes cruciales pour le commerce mondial. Au passage, ils broient les jeunes Djiboutiennes.
Mais pourquoi les parents sont-ils froids face à ce danger qui extermine leurs enfants ? Comment interpréter ce silence ahurissant et coupable des religieux face à la perversité et à l’immoralité des Djiboutiens ? Quelles explications donner à cette indifférence et à cette passivité des intellectuels Djiboutiens face à la détresse de jeunes Djiboutiennes ? Que dire de cette irresponsabilité des dirigeants du pays face aux complots criminels des spéculateurs du sexe et autres proxénètes ? Car Djibouti n’a rien à envier à Las Vegas qui détient le triste record de capitale mondiale de l’industrie du sexe et son cortège d’argent sale.
Tous les Djiboutiens devraient être condamnés pour « non assistance à jeunesse en danger.»
Ensemble, nous pouvons faire mieux ! """
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