Amère déception pour ceux qui s’attendaient à un charivari de remontage de bretelles, dans l'état actuel d’insignifiance de la dite opposition.
On n’influence guère une puissance militaire en rangs dispersés qui en plus de sa présence sur le sol djiboutien, est à l’écoute de tous nos échanges, par conséquent au courant des ambitions des uns et des autres, de ces dinosaures autoproclamés représentants de RIEN.
Mais je suis confiant, d'un échec à l’autre, un jour peut-être, on reviendra à la proposition du PRIDE qui traine sur la table depuis des années : ASSEYONS-NOUS ET DISCUTONS TOUS, AUTOUR D’UNE TABLE…
Même après toutes les guerres inutiles, la victoire vers le consensus national n’aboutit qu’autour d’une table, sans les armes.
Le changement radical à Djibouti, devra passer par ce dialogue qui nous fait tant défaut, la concertation et une feuille de route consensuelle sur l’après IOG et non le culte sauveur de la Nation. Ceux qui souhaitent nous bercer avec leur délire de meeting devant une 100ène de mineurs et l’isolement refusant catégoriquement d’élargir le cercle des matières grises, SE TROMPENT ROYALEMENT ET NOUS ONT DÉJÀ FAIT PERDRE UN TEMPS PRÉCIEUX DEPUIS LE 22 FÉV 2013.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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